samedi 25 avril 2009

La pratique du droit: Ou lorsque la sauvegarde d'immunités de gros bonnets oblige ! ?

Attention aux personnes sensibles et incrédules ou voulant le demeurer parce qu'elles préfèrent croire, malgré les rumeurs de plus en plus envahissantes qui circulent, que la Justice est malgré tout bien administrée par ceux et celles qui y oeuvrent ! ?

Car après la lecture de cet article, votre désir d'aller consulter un avocat afin que celui-ci fasse valoir vos droits pourrait s'estomper à tout jamais en appui à celui de Me Jean Pâquet, président du Conseil de discipline du barreau du Québec pour sa part, décide de précipiter la mort de la profession en menaçant même pour se faire la survie du système professionnel québécois qui, à ce jour, le fait vivre en plus.

Au fait Me Pâquet, vit au frais des professionnels membres d'ordres professionnels en laissant tout passer ou presque sur la pratique véreuse des membres de «son» ordre professionnel; soit celui du Barreau. La turpitude du Conseil de discipline du Barreau d...

Imaginez la portée de sa turpitude et celle des ses 2 comparses assis à sa gauche et à sa droite et qui semble être, en plus, très fier de pratiquer le DROIT ainsi en regardant, sans mot dire, leur mentor s'exécuter ou devrais-je plutôt dire les exécuter inconsciemment faut-il croire ! ?

3 avocats qui veulent de cette manière montrer aux autres le chemin à prendre et se mettre de cette manière en chômage et grossir les rangs des assistés sociaux rémunérés à même le budget alloué au Ministère de l'emploi et de la solidarité sociale ! ?

Ainsi c'est sans doute de cette manière que Charest et son bras droit Dupuis ont décidé d'être solidaires envers leurs «amis» avocats de même acabit qu'eux ? ?

Vendredi, le 24 avril 2009, 8:45am. Je me présente tel que prévu au Bureau de l'«Aide juridique de Repentigny» après m'être présenté la veille en milieu d'après-midi et me faire dire par une préposée à la réception que Madame Harvey, technicienne en droit et qui s'occupe de telles demandes, ne pourrait procéder immédiatement à l'exécution de celle-ci: soit celle d'envoyer des subpoenas à 9 de mes témoins nécessaires à ma défense pleine et entière de mon procès débutant le 27 avril avec la sélection du jury. Je lui rappelle également pour réfuter l'argumentation qu'elle tente maladroitement de me faire passer, que je ne suis pas trop tard car le code de procédure civile m'accorde 3 jours francs pour faire livrer par huissier un subpoena à un témoin avant la date projetée de sa comparution.

12 avocats nommés sur la liste comme étant de ma région immédiate soit celle de CHARLEMAGNE/LEGARDEUR /REPENTIGNY/L'EPHIPHANIE et qui m'a été remise par Nathalie Harvey, technicienne en droit à l'emploi de l'«Aide juridique de Repentigny».

Sentant mon impatience qu'on avait rudement volontairement travaillé afin que, sans doute, je m'énerve et les fasse en cachette glousser de satisfaction du travail ainsi accompli, Me Benoit Charbonneau, directeur de l'Aide juridique de Repentigny ainsi que Me Diane Roux du bureau de l'«Aide juridique de Joliette» et sa secrétaire prénommée Claude (et qui n'a pas voulu me dévoiler son nom de famille et je comprends maintenant pourquoi) m'ont démontré un autre exemple de cette «solidarité»! ?

Car c'est à moi que revenait maintenant la responsabilité de me trouver un avocat-criminaliste m'a fait savoir Madame Harvey après avoir receuilli de moi les informations requises pour complèter ma demande d'«aide juridique» et m'avoir fait signer celle-ci, en m'apprenant en plus que l'«Aide juridique de Repentigny» ne pouvait le faire elle-même car n'ayant pas d'avocat-criminaliste à leur emploi ?

Mais me prend-on vraiment pour un idiot coup donc ?

Car j'avais bien signé une demande d'«Aide juridique» et les frais de celle-ci un coup signée par le demandeur est ensuite remboursée par l'argent des contribuables québécois qui se serrent pourtant la ceinture à double tours par les temps qui courent pour arriver à tout payer.
Pourquoi donc faire payer le contribuable pour un service que la technicienne en droit me dit après qu'elle n'est pas capable de rendre ? ? Vous me suivez ?

Et pourquoi est-ce si important que ce soit absolument un avocat-criminaliste qui signe au bas d'un document que l'on appelle un «subpoena» ? Alors que le formulaire même est disponible en ligne sur plusieurs sites juridiques pour nous faire comprendre ainsi comment est simple l'envoi d'un subpoena afin de faire convoquer en cour les témoins qu'on a besoin de faire entendre afin d'assurer ainsi sa défense pleine et entière en respect des dispositions prévues à l'article 23 de la Charte québécoise des droits et libertés de la personne.

De fil en aiguille, décontenancé par la pertinence de mes questions formulées avec une certaine autorité et colère même contenue malgré l'énormité de cet autre préjudice qu'on essayait collusoirement de me faire à nouveau subir pour me faire manquer ainsi ce rendez-vous important avec la justice attendu depuis près de 3 ans, celles-ci amènent le directeur, Me Benoît Charbonneau à me renvoyer à sa supérieure immédiate, Me Diane Roux du bureau d'«Aide juridique de Joliette», me confirmant donc, par inférence ainsi, qu'il remplissait manifestement une commande en refusant dans un premier temps de me rendre le service demandé. Car pourquoi avoir déjà préétabli ce contact avec sa supérieure pour remplir une demande aussi simple que celle de produire des «subpoenas »?

Je quitte le bureau de Me Charbonneau, qui s'indigne même du fait que je ne comprenne pas, et m'emploie donc à entrer en contact avec cette Dame Roux en question.Car je n'ai pas de téléphone chez moi; la sévérité de ma détention arbitraire m'ayant positionné dans une situation financière précaire et je ne suis pas encore en mesure de payer la facture d'un compte de près $600.00 à Bell Canada qui s'est accumulée durant ma période de détention absurde et non-justifiée et qui me permettrait de remettre ma ligne en service. Si bien qu'à chaque fois que j'utilise un téléphone cela m'en coûte $0.50 et je dois tout compter avec le $708.00/mois tout dernièrement majoré de $120.00 grâce à l'intervention du Doc Mailloux qui fut le tout premier psychiatre que j'ai rencontré qui s'est préoccupé du fait à savoir si j'étais en mesure d'arriver et me payer au moins 2 repas par jour étant donné que je lui révèlait que mon loyer m'en coûte $585.00/mois. Soit afin d'ainsi m'assurer une certaine tranquillité d'esprit quant à mes besoins strictement essentiels.

Imaginez, Le Doc Mailloux, celui que tous ou presque lui reproche ses opinions dites controversées, fut le premier médecin donc en 4 ans de malheur, à se soucier de ma santé mentale malgré mes 20 mois passés de force à Pinel.

Ce n'est donc pas à mon avis ses opinions qui sont controversées mais bien l'état de pratique débridée de la psychiatrie que lui, tente au moins de redresser par ses opinions fermes et son courage de remettre en doute les opinions de certains de ses confrères et consoeurs lorsqu'il juge objectivement qu'elles n'ont tout simplement aucun sens moral. Même pas besoin d'avoir des connaissances approfondies de la «science» de la psychiatrie pour s'en apercevoir en plus, tellement tout cela lui a été facile de constat.

Premier appel donc à la Dame Roux en question: La réceptionniste refuse d'accepter les frais d'appel interurbain que Me Charbonneau me force à loger. Cela commence bien car elle me raccroche la ligne au nez sans que j'ai eu le temps de m'expliquer comme si elle avait été mis au courant que j'appellerai et qu'on lui a dicté d'agir ainsi sans doute afin d'augmenter ma frustration et me provoquer afin que j'en arrive peut-être à dire certaines choses qu'ils aimeraient bien tous ensemble, à ce stade, que je lance et qu'ainsi ils puissent noter.

Je rappelle la réceptionniste de Bell et lui dit que l'«Aide juridique» a l'obligation d'accepter dans un premier temps les frais d'un demandeur d'aide juridique car théoriquement on parle bien ici d'une aide même si en réalité c'est régulièrement de l'entrave à la justice que ce service gouvernemental apporte aux plus démunis de notre société au frais des contribuables.

Et je parle en connaissance de cause. Croyez-moi. Mon expérience invraisemblable ou presque avec Me Gaëtan Bourassa, directeur de l'«Aide juridique de Montréal», et qui m'a demandé de jeter mon code de procédure civile au vidanges parce qu'il ne servait à rien selon lui, en est la meilleure preuve.

Deuxième appel, la dame au bout de la ligne que je n'ai pu identifier accepte finalement les frais d'appel et me met en communication avec la secrétaire de Madame Roux, une dame prénommée Claude. Nous sommes rendu en fin d'avant-midi.

J'avais pensé que le Bureau d'aide juridique de Repentigny m'avait convoqué très tôt le matin en sachant fort bien que mes subpoenas devaient absolument être acheminés par huissier en après-midi afin qu'ils soient livrés à temps et je me suis dit qu'enfin j'avais affaire à des personnes de bonne foi qui font valoir le droit comme il se doit de toute manière de le faire considérant que les contribuables, encore une fois, les rémunèrent précisément pour cela.

Par ailleurs, je me devais d'attendre que Rouillier me fournisse le nom du témoin secret membre de l'O.I.Q dont il ne m'a dévoilé le nom durant la conférence préparatoire du 3 avril 2009 en respect des pourtant des principes judiciaires depuis longtemps établis quant aux obligations du poursuivant. Par inférence donc; tout ce qu'amenait en imbécile Rouillier avait donc reçu l'assentiment préalable du «juge» Mongeau en coulisse qui me montre n'avoir rien appris de son expérience du premier procès qu'il a présidé en décembre 2005 en me prenant à nouveau pour un «tarla» et la honte qu'il en a retirée en se croyant ou en croyant complaisamment certaines autres personnes importantes avec de gros chéquiers ou enveloppes brunes passées discrètement sous sa tribune.

Car comment un juge pourrait agir de façon aussi poche voire disgracieuse envers l'institution judiciaire et tenter de me faire croire en contrepartie qu'il n'accepte rien de cela ?

Voyons-donc, je ne suis pas une valise avec des poignées dans le dos, moi !

Rouillier ne m'a finalement jamais fourni ce nom afin que je ne puisse me préparer adéquatement tel que lui avait pourtant sommé le juge Mongeau (un moment donné un juge afin que personne ne commence à douter fortement de son intégrité n'a pas le choix) de le faire.

Par conséquent, Rouillier était donc en outrage à l'ordonnance verbale de Mongeau et en agissant comme je l'ai fait soit à la dernière minute, j'agissais vraiment en bon prince malgré tout car peut-être que son témoin-surprise en question était l'ingénieur Pierre Sicotte soit celui qui a initié tout ce cirque en prenant tout simplement pas son trou en juillet 2003 lorsque j'ai demandé au syndic Louis Tremblay de l'O.I.Q d'initier une enquête sur sa pratique pour le moins douteuse. Ainsi, j'évitais même de cette manière une humiliation supplémentaire à ce Sicotte en obviant ainsi que lui soit livré deux subpoenas: un par la Couronne et un autre par moi-même c'est-à-dire l'accusé ?

Ainsi donc et pour revenir à nos «aidants naturels» de l'«Aide juridique», Madame Claude de Joliette m'a finalement raccroché la ligne au nez lorsque je lui ai appris que je pourrais éventuellement l'accuser elle de même que Me Roux, sa patronne, d'entrave à la justice si elle persistait à me faire croire qu'elle n'était en mesure de rien faire pour moi même si je lui est rappelé que le Bureau régional de Joliette avait des avocats-criminalistes à leur emploi; si ce n'est juste un nom comportant un tel titre au bas du document qui manquait afin de compléter ma demande pourtant légitime d'envoi de 9 subpoenas ou sommation à comparaître.
Peine perdue, il me restait qu'une seule solution soit celle de dédoubler le coût du service de ces fameux subpoenas pour les contribuables soit tenter de me trouver un avocat-criminaliste désireux de simplement apposer sa griffe au bas de 9 subpoenas.

J'ai donc évalué que le travail de remplissage du subpoena pouvait se faire aisément par une secrétaire juridique voire même par la réceptionniste de n'importe quel bureau d'avocat tellement était simple cet acte que Me Pâquet pourrait qualifier à nouveau d'intra-juridictionnelle car échappant dérisoirement donc au contrôle de l'attribution du Conseil de discipline et considérant que tous ont refusé de me rendre le service pourtant très simple demandé.

Et que j'ai évalué nécessaire à un avocat-criminaliste d'apposer ses 9 signatures à 5 secondes par signature pour un grand total de 45 secondes de son précieux temps.

Voici donc les réponses à $0.50 chaque que j'ai reçues en passant à travers la liste des 12 noms que m'avait fournis Madame Harvey pour ainsi me faire croire vouloir remplir le mandat d'aide juridique que je lui ai pourtant dûment signé:

Me Claude Ducharme (aucune réponse, ni répondeur)
Me Normande Savoie (en formation par le Barreau car c'est le congrès annuel du Barreau semble-t-il)
Me Danielle Bédard (son bureau est fermé m'a-t-elle appris)
Me Alain Séguin (boite vocale, aucune secrétaire pour servir sa clientèle semble-t-il: bien importante à ses yeux cette clientèle pour le ténébreux Me Séguin)
Me Claude Bergeron (ne peut pas, trop occupé, m'a-t-il appris: cet avocat, qui m'avait un autre fois également bien déçu par son absence totale d'intégrité, doit faire énormément d'argent car lorsqu'on a même le temps de 40 secondes dans sa journée, c'est qu'effectivement on est fort trop même bien occupé )
Ratelle & Ratelle; le plus gros bureau d'avocats de Repentigny à moins que je ne m'abuse ( tous sans exception, partis en formation par le Barreau, me dira la tout de même gentille réceptionniste) On se forme en grand chez Ratelle & Ratelle ! Et à un point tel de manquer de respect envers la clientèle qu'on dessert sans doute bien ainsi. Mais que leur apprenne donc ces cours de formation du Barreau ? L'art de «crosser» l'honnête citoyen ?
Me Jean-Philippe Simard (un jeune avocat qui promettait pourtant car il m'a rendu un service apprécié un jour mais lui aussi, en «suiveux» a décidé de se faire former par le Barreau ? !)
Me Christine Goyette (...et sa collègue l'a également suivi... elle qui un jour m'a presque demandé de vendre mes canapés pour pouvoir payer ses honoraires gonflés...et alors que j'étais déjà à ce moment là sans le sous)
Me Michel Carignan (...qui un jour a bien tenté de percer en politique...municipale, provinciale, fédérale... n'importe quoi finalement en autant que cela lui rapporte des dividendes personnelles en putain qu'il est...car ce Me Carignan m'a un jour volé d'aplomb en me faisant signer par sa sécrétaire une sournoise quittance en blanc et en étant par la suite excuser par une syndique du Barreau devenue juge par la suite... qui n'a même voulu examiner, sur ma recommandation, son compte en fidéi-commis)

Car ce Michel Carignan était bien là à son bureau de la rue Notre-Dame à Repentigny lorsque je l'ai aussi rejoint au frais de $0.50 et a fait dire par son technicien juridique semble-t-il à son emploi, qu'il n'avait non plus pas le temps de consacrer les 45 secondes que prennent l'acte d'apposer sa griffe au bas de 9 subpoenas et a sûrement gloussé à son tour de plaisir à me refuser le service judiciaire demandé au profit de ses mêmes bandits préférés quand il m'avait supposément assisté dans mes intérêts qu'il disait alors, lorsque le syndic Louis Tremblay de l'O.I.Q est venu me rencontrer à mon bureau de la rue Cherrier à Repentigny en août 2003 afin de receuillir ma plainte. Un bel hypocrite dangereux que ce Carignan qui n'a l'air de rien: à un point tel qu'on ne se méfie même pas de lui.
Trop tard cependant: il aurait pu ainsi se reprendre et me retourner l'ascenseur étant donné que je n'ai pas persisté dans ma plainte à son endroit.

Tout ce que tout ce beau monde peut faire pour plaire à L'Ordre des ingénieurs et à Monsieur Zaki Ghavitian pour ainsi camoufler leur malversation collusoire très mais alors très honteuse car allant directement dans le sens tout à fait contraire de leur Mission réelle: soit celle de protéger le Public !

Par conséquent et à tous ces avocats et techniciennes juridiques qui ont eu l'ordre du Barreau de ne pas donner suite à ma demande de produire mes 4 «subpoenas» et mes 5 «subpoenas duces tecum» afin de me porter énorme préjudice lors de mon procès qui s'amorce lundi, soit le 27 avril prochain, en me refusant de cette manière détournée et mesquine, mon droit à convoquer les témoins de mon choix afin d'exercer ma défense pleine et entière, je leur dit:

Vous n'avez pas honte d'exercer le droit de cette manière et penser que la clientèle va se précipiter à vos portes !

Sauvegardes d'immunités obligent, faut-il croire, lorsque de gros bonnets bien argentés se font prendre les culottes baissées...et ne veulent plus soudainement comparaître après avoir faussement accusé un demandeur d'enquête de bonne foi, à qui par surcroît le comité de révision de l'O.I.Q avait donné raison le 28 janvier 2004 ?
Ainsi l'O.I.Q s'arrange avec leurs nombreux avocats payés $250.00/hre pour faire mettre en prison ou encore plus mesquin, en Institut psychiatrique, les demandeurs d'enquêtes qui ont eu raison d'avoir demandé que des enquêtes se fassent ? ? ? ?
Cela n'a aucun sens: c'est carrément asocial, pour des avocats que de travailler à protéger une si grosse bêtise de la part d'un ordre professionnel que l'on dit prestigieux en plus ! ?
Et que s' il n'y en avait pas de ceux qui ont ce courage voire ce devoir de porter plainte lorsque qu'ils perçoivent judicieusement, en vrai professionnels qu'ils sont, que les intérêts ou la Protection du Public pourraient être menacés, leur ordre professionnel voire le système professionnel n'aurait plus raison d'exister...

J'ai appris beaucoup de cette expérience douloureuse qu'on veut continuer dirait-on à me faire subir à tort pour me faire au contraire du tort. Quoique je sais maintenant davantage ce que le mot «ordre» veut dire dans «ordre professionnel» ! ?

J'ai seulement hâte maintenant de voir la honte sur leur visage...
«D'autre part, nous savons depuis le procès de Nuremberg que le motif d'obéir aux ordres ne constituaient pas une justification acceptable pour ceux qui se sont salis les mains en se livrant à des crimes de guerre» Hermil Lebel
À qui profite le crime ?

Je considère donc à juste titre ce que l'O.I.Q. m'a fait subir comme un crime de guerre contre l'être humain et la bonne foi d'invidus honnêtes désirant seulement que le Public soit vraiment protégé.
A coup sûr, l'O.I.Q de même que tous les avocats et juges et médias qui ont «oeuvrés» à maintenir secrète cette parodie judiciaire sans nom, devront finalement se responsabiliser comme il se doit et payer la note très élevée qui en découle en respect de l'article 49 de la Charte des droits et libertés de la personne et afin que cela ne se reproduise plus jamais de la part d'un ordre professionnel ou toute autre entité dont la mission est de protéger les intérêts du Public.

P.s: En addendum qu'apprenez-vous au juste des séances de formation que vous recevez du Barreau si une personne supposée toujours inapte comme moi, selon Me David Bouchard de Trois-Rivières, vous rabroue tous autant que vous êtes sur une question de droit...et ensuite, pour parapher le plat, sur un acte juridique aussi simple que celui de produire des subpoenas ?

Mine de rien l'«Aide juridique de Repentigny» qui est sensé aider ses plus démunis même si tous prétendent qu'il fait bon vivre à Repentigny et que tout le monde est heureux au grand bonheur de sa mairesse Chantal Deschamps qui en contrepartie, par contre, ne veut pas entendre parler des malheurs des autres dans son petit monde où tout le monde est gentil et la sert bien, m'a au lieu fait dépenser inutilement un peu plus 1% de mes revenus mensuels en appels téléphoniques seulement au lieu de me rendre le service payé d'avance par les contribuables grâce à ma signature.
Un monde de «crosseurs» voilà tout ! un monde que je ne peux gerber sans en avoir la nausée en tant qu'individu qui se considère honnête intellectuellement...
A suivre...et je vous en prie aller immédiatement vider votre sac brun...

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